Cubes noirs
Après avoir quitté Paris et l'atelier de Fontenay-aux-Roses en 1976, je travaille sur des noirs et des formes simples. J'ai besoin de tourner le dos à l'esthétique de l'émail.
Chaque jour, je fais un ou des cubes identiques, et une ou des formes diverses, organiques, non construites, avec des terres différentes, des blancs, des noirs.
Ces formes sont assemblées suivant des ordonnancements particuliers, comme des séquences ou des phrases, donnant une vision graphique.
Chaque objet a sa présence propre ; chaque groupe d'objets a sa présence propre.
Chaque élément, objet ou groupe d'objets résonne par rapport à ce qui l'entoure.
Rien n'est isolé.
Une organisation s'impose d'elle-même ; on ne peut pas disposer des objets dans n'importe quel ordre.
Ce travail est exposé à la galerie "Sans titre" en 1980 à Nice.
Chaque jour, je fais un ou des cubes identiques, et une ou des formes diverses, organiques, non construites, avec des terres différentes, des blancs, des noirs.
Ces formes sont assemblées suivant des ordonnancements particuliers, comme des séquences ou des phrases, donnant une vision graphique.
Chaque objet a sa présence propre ; chaque groupe d'objets a sa présence propre.
Chaque élément, objet ou groupe d'objets résonne par rapport à ce qui l'entoure.
Rien n'est isolé.
Une organisation s'impose d'elle-même ; on ne peut pas disposer des objets dans n'importe quel ordre.
Ce travail est exposé à la galerie "Sans titre" en 1980 à Nice.